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Bronze : |
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Dans le cas particulier de la sculpture en bronze, il n’y avait pas application de pigments. En effet, la polychromie était souvent liée à des éléments « rapportés » (Rolley, p. 80) tels que les cils d’une statue faits de deux minces plaquettes de bronze, ou les lèvres constituées à base de cuivre rouge. Sophie Descamps cite d’autres exemples d’effets chromatiques obtenus grâce à différents mélanges d’alliages de cuivre, à diverses techniques de polissage ou encore à des éléments coulés à part, comme des incrustations de cuivre rouge, des dents en argent, des globes oculaires en verre ou en ivoire, des iris en pâte de verre. |
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